Parce Que Bourvil
Le Spectacle
Une
mise en scène endiablée et
légère
avec deux (presque) clowns
et un homme (presque) orchestre.
Interprète
de presque 400 chansons, Bourvil
offre un répertoire riche et éclectique dans lequel la Cie Bam a
choisi des chansons encore méconnues (il ne faudra donc pas attendre
une tactique du gendarme ou autres salades de fruits dans ce
spectacle !). Les heureuses élues sont ensuite passées par
l'atelier : découpage, rétrécissement, raccommodage, … Puis
ont été triées, dans un ordre côtoyant logique et intuition.
La Cie Bam, sous l'œil amusé de sa metteuse en scène experte dans l'art du clown, s'est peu à peu appropriée cette matière en en faisant une interprétation qui lui est propre, sans chercher l'imitation du personnage de Bourvil. Fruit d'un travail sur le lâcher-prise, la liberté et la prise de risque, le jeu s'est créé entre les personnages. Un jeu qui d’ailleurs se réinvente avec le public à chaque représentation, tissant l'histoire d'un chansonnier un brin allumé, d’une groupie déchaînée et d’un musicien de talent.
La Cie Bam, sous l'œil amusé de sa metteuse en scène experte dans l'art du clown, s'est peu à peu appropriée cette matière en en faisant une interprétation qui lui est propre, sans chercher l'imitation du personnage de Bourvil. Fruit d'un travail sur le lâcher-prise, la liberté et la prise de risque, le jeu s'est créé entre les personnages. Un jeu qui d’ailleurs se réinvente avec le public à chaque représentation, tissant l'histoire d'un chansonnier un brin allumé, d’une groupie déchaînée et d’un musicien de talent.
« Un fatras de bric et de broc »
Boîtes
de conserves trébuchantes, corde à linge, mégaphone, livres... se
mettent également au service du texte, et alimentent ainsi la mise
en scène.
Des accessoires musicaux plutôt décalés (pédales, tendeurs, caisse en bois, vieille casserole... ) constituent une batterie peu commune aux multiples ustensiles, couplée à une guitare, et à un kazoo pour les cuivres. Cet orchestre bricolé adapte les compositions originales, et accompagne les chansons dans des styles oscillant entre le latino-manouche, le rock, et pourquoi pas, le rap !
Des accessoires musicaux plutôt décalés (pédales, tendeurs, caisse en bois, vieille casserole... ) constituent une batterie peu commune aux multiples ustensiles, couplée à une guitare, et à un kazoo pour les cuivres. Cet orchestre bricolé adapte les compositions originales, et accompagne les chansons dans des styles oscillant entre le latino-manouche, le rock, et pourquoi pas, le rap !
Ce spectacle donne ainsi à entendre autrement des chansons d’une période passée grâce à des sonorités actuelles et expérimentales. Entre tour de chants et tour de piste, l’énergie clownesque crée une ambiance et un spectacle subtil digne d’une guinguette ou d’un café-concert.